Les expositions temporaires

à propos de RogerM

Née en 1959, Patricia vit et travaille à Cholet.

Après des études de dessin en 1975, dans les cours de Mr Joseph Martineau, Patricia étudie en 1995 la couleur à l'Ecole des Beaux-Arts de Cholet.

Les couleurs dans la matière me fascinent, le sujet n'est souvent qu'un prétexte à créer de nouvelles "harmonies".

J'aime l'usure du temps dans la matière, les erreurs, les hasards, les éraflures, les couleurs intenses contenues ou pas, y ajouter une part de "géométrie" pour ne pas se perdre...

    « Comment vous parler de ma peinture ?... Je ne sais pas ... le plus important reste... l'envie … »

  • (dé)portraits

    Avec l’exposition (dé)portraits, Roger.M et Smérieau nous proposent deux univers autour du Portrait, dans une approche commune de la construction / déconstruction.
    A l’image des évènements de la vie qui nous construisent, grandissent, blessent, détruisent, réorientent, ces visages nous invitent à une pause pour les observer. On y voit alors des détails cachés et des histoires que l’on s’invente, peut-être par effet miroir de notre propre identité.  Cet accrochage de tableaux, encre de Chine sur papier Aquarelle, et technique mixte, acrylique/ collage, sur toile, narre l’histoire qui nous ressemble.

    Exposition Roger.M & Smérieau – (dé)portraits

    du 12 septembre au 4 octobre 2020

    Vernissage le samedi 12 septembre en présence des artistes

à propos de Smérieau

Le travail de Sébastien Mérieau tisse des liens entre l’humain et ce qui l’entoure grâce à ses séries de visages. Ses œuvres prennent des formes diverses dont l’unité s’ancre dans la recherche de lignes évocatrices, rythmiques et de couleurs symboliques. Tout en nuances et contrastes, les jeux de matières et de matériaux viennent alors rehausser les portraits. Ils sont issus d’études qui prennent leur origine dans l’imaginaire ou les rencontres, les humeurs et les lectures qui s’illustrent dans un système de résonances émotionnelles.

Or l’émotion est une composante centrale du travail de Smérieau. Il expérimente ainsi, en peinture ou en mosaïque, de la suggérer dans le filigrane de ses visages aux regards intenses et aux expressions poignantes. Son oeuvre forme un kaléidoscope d’instants de vie qui, mis bout à bout, dessine le paysage de l’âme humaine, entre angoisse, optimisme, solitude et légèreté ; comme autant d’échos à notre propre parcours de vie, à la fois dicible et indicible.

Hélène Le Noë, artiste auteure de nouvelles poétiques

Le travail d’Hélène Le Noë consiste à mettre en mots le monde sensible qui nous habite et le rapport qu’elle entretient au monde réel que nous habitons. Les paysages sensoriels qu’elle crée recomposent une réalité enrichie de nouvelles perspectives qui relient notre intimité profonde à ce que nous avons en partage avec l’Humanité : questions existentielles, peurs archaïques et élans de vie insatiables. Les moments de vie deviennent sous son regard des mouvements de vie qui nous permettent de voir ce qui bouge en nous à vivre ce que nous vivons.

Auteure engagée, elle nous invite à prendre conscience que chacun.e de nous peut faire bouger le monde tel qu’il tourne. Ses écrits amènent des réflexions sur le monde du travail tel qu’il nous broie ou sur l’individualisme tel qu’il nous empêche de construire ensemble un monde plus juste. Mais c’est avant tout en tant que femme qu’elle décrit le monde, avec l’espoir que ses mots leur permettent de se le réapproprier.

 Smérieau, artiste pluridisciplinaire

Le travail de Sébastien Mérieau tisse des liens entre l’humain et ce qui l’entoure grâce à ses séries de visages. Ses œuvres prennent des formes diverses dont l’unité s’ancre dans la recherche de lignes évocatrices, rythmiques et de couleurs symboliques. Tout en nuances et contrastes, les jeux de matières et de matériaux viennent alors rehausser les portraits. Ils sont issus d’études qui prennent leur origine dans l’imaginaire ou les rencontres, les humeurs et les lectures qui s’illustrent dans un système de résonances émotionnelles.

Or l’émotion est une composante centrale du travail de Smérieau. Il expérimente ainsi, en peinture ou en mosaïque, de la suggérer dans le filigrane de ses visages aux regards intenses et aux expressions poignantes. Son oeuvre forme un kaléidoscope d’instants de vie qui, mis bout à bout, dessine le paysage de l’âme humaine, entre angoisse, optimisme, solitude et légèreté ; comme autant d’échos à notre propre parcours de vie, à la fois dicible et indicible.

  • Fables d’un monde qui s’en tête

    Avec l’exposition « Fables d’un monde qui s’en tête », le duo d’artistes Hélène Le Noë et Smérieau propose des œuvres où le dessin et le texte s’associent en une fable illustrée et poétique. Avec humour, dérision et ironie, ils nous interrogent sur des sujets de notre société avec des thèmes actuels : le règne de l’apparence, l’aliénation du travail, la reconnexion à notre humanité, les émotions du repli-sur-soi … Chacune des œuvres permettra au visiteur de s’identifier, dans un quotidien qui nous perd parfois.

    À partir des portraits réalisés par Smérieau, Hélène Le Noë vient décrire des personnages à la fois archétypaux et familiers. L’assemblage des deux offrant matière à une réflexion individuelle et collective.
    Pour quoi un recueil de fables illustrées ?
    •    Pour dire le monde tel qu’on n’arrive peut-être plus à le percevoir.
    •    Pour permettre de le saisir à nouveau au travers de personnages, archétypes de notre société dans leur rapport au monde du travail, à leurs émotions, aux autres…
    •    Pour parler de ces sujets qui nous dépassent grâce à l’humour ou des « pas de côté », nous permettant ainsi de changer notre point de vue sur eux.
    •    Pour favoriser la réappropriation par chacun.e de nous de ces sujets collectifs et sociétaux.
    •    Pour montrer que si une société est à l’image de ses habitant.es, ils.elles ont en eux.elles, le pouvoir de faire évoluer leur façon d’habiter la société.


    Du 1 au 24 novembre 2019

    Vernissage vendredi 1 novembre 2019 à partir de 18h00 en présence des artistes

  • Totems andalous

    Avec l’exposition Totems andalous, Julie Buffet nous invite dans des scènes où l’Homme et l’Animal sont en harmonie au-delà du visible, et exprime ce rapport instinctif qui attire ou oppose des êtres.
    L’ambiance andalouse dégage une sensation de chaleur et légitime notre regard sur une danse intime, à l’opposé d’une corrida.
    Cette sensualité nous questionne sur notre propre caractère : quel animal suis-je ? et nous plonge dans le symbolisme chamanique.

    Julie affectionne cette atmosphère sereine et joyeuse que les femmes peuvent créer autour d’elles. Son travail représente notamment des scènes dont les personnages et leurs animaux interagissent au sein de compositions très colorées. Le monde animal et le folklore espagnol avec son puissant symbolisme sont aussi une source d’inspiration pour le travail actuel intitulé “Yin et Yang”. Elle explore les thèmes universels de la féminité et de la quête de l’harmonie et du bonheur. Chaque œuvre est une pièce du puzzle qui mêle hommes et femmes à leurs animaux totems, le taureau exprimant la force et la maturité sur un chemin de vie, le chien ou le cheval représentant les facettes plus douces et plus fragiles des femmes.

    Exposition Totems andalous

    Du 7 au 29 septembre 2019

    Vernissage samedi 7 septembre 2019 à partir de 18h00 en présence de l’artiste

     

     

    Galerie Art-Triberium – 6 rue de la vallée – 44190 Clisson

Marie Marchand
  • Les Fragmas

    Avec l’exposition Les Fragmas, Marc Chapron invite notre imaginaire dans des paysages abstraits, où la couleur se décline telle une vibration et l’œuvre en une gamme visuelle et sonore.

    C’est de tableaux dont il s’agit, de ces espaces où tout peut s’écrire et s’effacer, où tout peut se projeter, se superposer, jusqu’à parfois se cristalliser. Alors ces surfaces accumulent des strates, mille feuilles qui s’incrustent, s’écaillent ou s’envolent. Comme une fouille archéologique, des formes, des matières, des couleurs apparaissent ou disparaissent, laissant entrevoir d’étranges juxtapositions par épaisseurs ou grattages. Par brossage, les fines couches d'un passé oublié ou enfoui peuvent ressurgir à tout moment. Tout se joue alors dans le tournoiement du tableau, dans divers sens, dans le recadrage, le découpage, l’extension ; et ce pour laisser apparaitre des suggestions propices à notre imaginaire, comme des territoires immergés ou émergents, des fragments de nature, des paysages insolites que la main mettra en exergue par l’encre, le pigment, la craie, la colle, la cire et la brosse, le couteau, l’éponge, le chiffon …

    En s’inspirant des peintres de la matérialité et de l’informe, et ceux de l’impression, du lyrisme de la lumière et du souffle, ces tableaux de bois sont le reflet de visions et sonorités intérieures laissant naître ces quelques « Fragmas » tant chaotiques que méditatifs, tant turbulents que flottants.

    Exposition Marc Chapron – Les Fragmas

    Du 6 au 28 juillet 2019

    Vernissage samedi 6 juillet 2019 à partir de 18h00 en présence de l’artiste

Julie Buffet
  • Réalité altérée

    Pour son exposition inaugurale, la galerie Art-Triberium propose un dialogue entre deux artistes abordant la construction et la perception de notre réalité.

    Exposition « Réalité altérée » du 02 au 25 mai 2019

    Vernissage le jeudi 02 mai à partir de 18h00 en présence des artistes

     

    Galerie Art-Triberium – 6 rue de la Vallée, 44190 Clisson

    Du mercredi au vendredi de 11h30 à 19h00, samedi et dimanche de 10h30 à 19h00

     

    Bruno Dumas

    Le temps est imparfait, mais c'est pour Bruno le début d'un voyage. Peu lui importe finalement si l'argentique ou le numérique l'emporte ce n'est que des outils qui lui permettent de fabriquer son monde. C'est un « putain de classique » qui envisage son tirage comme une « tempéra » d'un autre temps. Le tirage unique d'une gomme bichromatée lui offre le temps nécessaire pour que le pigment lui révèle l'histoire. Parfois, la trace d'un pinceau ou d'un pastel transforme sa grammaire picturale. Sa propre réalité apparaît alors comme un jeu de forme ou notre persistance visuelle s'élance vers notre imagination.

    Johann Bertrand d‘Hy

    Suivant la tradition platonicienne, notre réalité serait produite par un monde supérieur et invisible : celui des chiffres, des mathématiques, de la géométrie. Johann tente de faire apparaître ce monde, et trace, guidé par les chiffres d'un jeu de hasard, un pont entre les dimensions. Y a-t-il un moyen d'influer sur ce monde ? Comment accéder à l'immatériel par le dessin ?